Association du patrimoine artistique asbl

Paul Philippot

Die Brügger Schule der Malerei im XV. und Anfangs des XVI. Jahrhunderts,
«in» Du. Europaïsche Kunstzeitschrift, 37, 1978, p.52-69

Paul Philippot

Il IV Centenario della nascita di Rubens
«in» dans Bolaffi Arte, 68, 1977, p. 26-27

Paul Philippot

"Le ""retable des Poissonniers"" des Musées Royaux des Beaux-Arts de Bruxelles, oeuvre de Pierre Pourbus,"
«in» Bulletin des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique, 1973, 22, p. 73-84

Paul Philippot

\"Les grisailles et les \"\"degrés de réalité\"\" de l'image dans la peinture flamande aux XVe et XVIe siècles\"
«in» Bulletin des Musées Royaux des Beaux-Arts, Bruxelles, 1966, 4, p. 225-242.

Paul Philippot

Le Portrait à Anvers dans la seconde moitié du XVIe siècle
«in» Bulletin des Musées Royaux des Beaux-Arts, Bruxelles, 1965, p. 63-196

Paul Philippot

La peinture dans les anciens Pays-Bas, XVe-XVIe siècles
«in» Flammarion, coll Champs, Paris, 1998, p.114

Paul Philippot

La peinture dans les anciens Pays-Bas, 15e-16e siècles
Paris, "Flammarion, coll. ""Idées et Recherches""", 1994, 304 p., 298 ill
"Texte original français de Pittura fiamminga e rinascimento italiano (1977), entièrement revu et corrigé. La peinture des anciens Pays-Bas est analysée dans son développement au XVe et au XVIe siècles tant au nord qu'au sud des Pays-Bas. L'étude s'attache spécialement à caractériser la conception de l'espace ambiant ou enveloppant imaginée par Van Eyck et le Maître de Flémalle en opposition à la conception perspective de l'espace propre au quattrocento italien. A cet espace enveloppant correspond une conception symbolique de l'action, analysée dans son opposition à l'action transitive, historique, des Italiens et dans son aspect contemplatif - représentatif, par opposition à l'action expressive qui domine l'art allemand de l'époque. Cette conception ""flamande"" de l'action et de l'espace, définie comme réalisme liturgique, entre en crise dans le dernier quart du XVe siècle, et c'est de cette situation de crise que naît le besoin de recourir aux solutions élaborées en Italie. Le XVIe siècle est donc dominé par une assimilation progressive de la culture figurative italienne qui vise essentiellement à répondre aux besoins nouveaux propres à la peinture des Pays-Bas. L'acquisition de la syntaxe italienne se fera en trois temps, répondant grosso-modo aux périodes 1490-1535, 1535-1570, 1570-1600. A l'aube du XVIIe siècle après l'internationalisation du maniérisme dans le dernier quart du XVIe siècle (Spranger), l'assimilation grammaticale est complète, mais l'originalité de la peinture du nord est aussi acquise, dans ses deux voies flamande et hollandaise, qui se séparent progressivement au cours du XVIe siècle une attention particulière est accordée, de ce point de vue, à Frans Floris et à Jan Van Scorel. Une place essentielle revient d'autre part, au cours de ce processus, à la distance posée par Jérôme Bosch et Pieter Brueghel vis-à-vis de l'italianisme et à l'assimilation de celui-ci par la peinture de genre, notamment de la part de Lucas de Leyde, de Jan van Hemessen et de Pieter Aertsen. Les relations de la problématique picturale avec les problèmes littéraires et religieux de l'époque et avec la mode vestimentaire, de même que la question du maniérisme, font l'objet d'analyses particulières. Un chapitre est également consacré à la peinture et à la sculpture en Allemagne du début du XVe siècle aux environs de 1540. "

Paul Philippot

"Réflexions sur l'exposition ""Le siècle de Bruegel, la peinture en Belgique au XVIe siècle"
«in» Gazette des Beaux-Arts, 01-janv.-64, p. 51-62

Paul Philippot

"Collaboration au catalogue de l'exposition ""Le siècle de Bruegel"", ""La peinture en Belgique au XVIe siècle"""
Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts, 1963

Paul Philippot

La fin du XVe siècle et les origines d'une nouvelle conception de l'image dans la peinture des Pays-Bas
«in» Bulletin des Musées Royaux des Beaux-Arts, Bruxelles, 1962, p. 3-38