Association du patrimoine artistique asbl

Paul Philippot

L'architecture à Bruxelles au XIXe siècle: les formes et l'espace
«in» Annales d'Histoire de l'Art et d'Archéologie de l'U.L.B., XIX, 1997, p.7-31

Paul Philippot ( sous la dir. de Brigitte D'Hainaut-Zveny)

Préface
«in» La place des Martyrs, Bruxelles, CFC-Editions, 1994, p.VII-XI

Paul Philippot

Les formes et l'espace dans l'architecture de l'historicisme
«in» catalogue de l'exposition Poelaert et son Temps, Bruxelles, Palais de Justice, 1980, p.102 à 110

Paul Philippot

L'espace flamand et l'architecture des Pays-Bas espagnols
«in» Saggi in onore di Guglielmo de Angelis d'Ossat, Rome, Quaderni dell'Istituto di Storia dell'Architettura, 1-10, 1987, p.431-438

Paul Philippot

Saggi sul restauro e dintorni antologia, Scuola di specializzazione per lo studio ed il restauro dei monumenti
Rome, "Università degli studi di Roma ""La Sapienza"", Bonsignori", 1998

Paul Philippot

Les couleurs de Rome
«in» Pénétrer l'art..., 1988, p.445-459
"La couleur d’une architecture est déterminée à la fois par l’histoire singulière de l’édifice et par le contexte urbain dans lequel il s’inscrit. La Rome d’après guerre était caractérisée par des couleurs ocre, jaune et rose, mais à partir des années cinquante, le développement des couleurs synthétiques apporta une modification radicale à cette polychromie. A la fin des années soixante, on commença à voir poindre une approche critique du problème, sous l’impulsion directe des instituts de restauration et d’histoire de l’architecture ainsi que dans le cours des débats, des colloques et des interventions de restauration. L’étude de l’iconographie historique, des documents d’archives et des informations de laboratoire s’est imposée comme le principal instrument permettant de définir les couleurs à restaurer. Toute une série de données importantes ont ainsi été acquises, notamment sur les modalités de présentation des matériaux, sur l’usage imitatif de la couleur elle-même et les rapports particuliers entre matériaux ""nobles"" et plus ""pauvres"". Une casuistique riche et circonstanciée témoigne des diverses solutions chromatiques expérimentées dans les traitements des finitions dont les résultats, pas toujours flatteurs, sont visibles à Rome et à Bruxelles. "

Paul Philippot

Les couleurs de Rome
«in» Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Académie Royale de Belgique, 5e série, LXX, 10-12, 1988, p. 259-92

Paul Philippot (En collaboration avec P. et L. Mora)

Il restauro degli intonaci colorati in architettura: l'esempio di Roma e la questione di metodo
«in» Intonaci colore e coloriture nell'edilizia storica, "Atti del Convegno di Studi, Part. II, ""Bolletino d'Arte"" del Ministerio per i Beni Culturali e Ambientali, suppl. al. n° 35-36", 1986, p. 139-142
L’analyse des interventions réalisées à Rome durant ces vingt dernières années, dans le domaine des surfaces architecturales colorées met en évidence une incohérence fondamentale qui va des traitements platement monochromes (S. Caterina a Magnanapoli) à l’emploi de coloris arbitraires (Oratoire du Santissimo Crocefisso) ou de tons opaques (Palais Sénatorial), aux solutions de continuité entre des parties en pierres et en intonaco peint (Palais de la Propaganda Fide, Hôpital du Celio) à l’usage de scialbature incongrues sur les pierres. Toutes ces erreurs grammaticales témoignent d’une manière inadéquate de poser le problème de la couleur sur les surfaces architectoniques, et il en découle la nécessité d’encadrer théoriquement cette problématique en sélectionnant avec soin la technique de l’intervention.

Paul Philippot

Bruxelles et le cheval de Troie
«in» A+, Expo '58, 25 ans après, mai-juin 1983, 82, p.9-10

Paul Philippot

Architectuur en theorie van de restauratie
«in» Bulletin KNOB (Koninklijke Nederlandse Oudheidkundige Bond), Amsterdam, jaarg. 77, feb. 1978, 1, p. 8-10.
Ce texte insiste sur la légitimité d’une théorie générale de la restauration qui soit unique et sur l’impossibilité de fonder des disciplines autonomes pour les diverses formes d’expressions artistiques. C’est pourquoi l’architecture est soumise aux mêmes critères généraux d’intervention que ceux usités pour les autres arts, et ceux-ci doivent orienter les solutions aux problèmes pratiques présentés par chaque œuvre en particulier.